samedi 17 mai 2014

Tales & Spirits, Amsterdam



Fin de soirée dans un des lieux les plus réputés pour leurs cocktails, Tales & Spirits. Un bar mais qui fait aussi restaurant dans une vieille maison d’Amsterdam sur plusieurs niveaux. Nous n’avons pas dine mais simplement bus quelques breuvages…


Une jolie enseigne extérieure vous indiquera l’endroit avant d’arriver dans une jolie salle assez classique avec ses murs de briques apparentes, un bar et un ensemble de tables en bois où l’on vient prendre ces fameux cocktails. 
 




 Sur les murs quelques anciennes affiches du passé faisant la promotion pour des alcools.


Au plafond quelques lustres de cristaux amènent une touche un  peu baroque à l’ensemble.


Le très aimable et sympathique barman qui semble être l’un des associés vient prendre la commande mais nous questionne sur nos préférences afin de choisir le cocktail idéal pour chacun d’entre nous. Je ne suis pas très habitué à boire des cocktails mais je dois reconnaitre qu’en regardant la carte, les noms de ceux-ci me sont totalement inconnus, ce qui signifie qu’ici ce sont plutôt des créations que des standards que l’on peut trouver un peu partout ailleurs.

Par exemple le « It’s So fluffy… »  ou le « The Girl Next Door » sans omettre le « Little Miss Trouble ». Chaque cocktail a sa description. Non pas simplement la liste des ingrédients mais une petite histoire qui décrit les circonstances où ce cocktail a été créé.

Certains furent choisis de la carte et d’autres furent suggérés par notre barman.

Je me rappelle du « Shut the F#$k up George!” dont l’histoire est…. « Parfois vous souhaitez que quelqu’un arrête de parler… Ainsi, pour notre bon ami George qui n’arrête jamais de parler jusqu’à ce qu’il ait un verre à la main… 30-30 de tequila Reposado, du citron vert pressé, de la marmelade d’orange, du sirop d’agave, servi sur un peu de glace.  Ainsi nous stopperons le jacassement à vos oreilles… ».




Ou alors le « Madame Moustache »…  « Une joueuse américaine réputée proche de la frontière ouest qui a passé sa vie à jouer au Blackjack. Du whisky blanc Bootlegger white whiskey, Pierre Ferrand dry Curaçao,  sirop de fève Tonka, du jus de citron frais, blanc d’œuf et une touche de whisky en tonneau Fee Brothers ».




Deux exemples sur peut-être une vingtaine de créations. Cela vous donne un peu le niveau de sophistication auxquels il faut s’attendre. Chaque cocktail fut particulièrement bien dosé avec chacun leur particularité. Parfois citronné, parfois un peu d’amertume et jamais soit trop sucrés ou trop écœurant.

Ici cela sera comme vous le comprendrez des cocktails que l’on pourra qualifier de « gastronomiques » dans un cadre très plaisant et une superbe ambiance. Pas celle des traditionnels clubs avec une musique forte mais celle d’un lieu où l’on vient se détendre et prendre du plaisir à découvrir de nouvelles boissons.

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